La démission de Nicolas HULOT signe l’impossibilité de verdir le capitalisme (PCF71)
Nicolas HULOT jette l’éponge pour avoir cru à la possibilité de faire de l’écologie la préoccupation de ce gouvernement. Une impasse personnelle qui signe l’impossibilité de verdir le capitalisme.
Le capitalisme est ultra dominant dans le monde. Ses logiques sont fondées sur la course aux profits via un système productiviste tiré par le consumérisme, l'innovation à tout prix et l’obsolescence programmée, par la "destruction créatrice" et la guerre.
Partout dans le monde les peuples font le même constat : le capitalisme mène au désastre. Nos sociétés se délitent, notre écosystème se déséquilibre très dangereusement (réchauffement climatique, effondrement de la biodiversité, épuisement des ressources). Le capitalisme est tout simplement en train de flinguer la planète et l'humanité. Il n’est pas pas possible de verdir un tel système. Il faut en inventer un autre réellement pérenne, Un système qui combine la justice sociale, la démocratie réelle, la croissance du bien-être, la stabilité écologique et le développement humain. C’est une urgence absolue.
Bernard COIS, secrétaire départemental du PCF71