Les communistes du Chalonnais vous proposent une chaîne humaine en chanson le 15 février 14 heures devant l'hôpital public William Morey de Chalon sur Saône. (lire l'article sur le sujet)
Sur l'air de "Je l'aime à mourir" de Francis Cabrel, ensemble, au lendemain de la Saint-Valentin, déclamons en chanson, notre amour pour notre hôpital public de Chalon et son personnel dévoué.
Vous pourrez également, leur écrire un message d'amour sur un cœur que vous accrocherez à la façade.
Nous mettons à votre disposition en écoute et en téléchargement:
- le texte de la chanson (écrit par Jean-Michel et Nathalie)
- Écouter le fichier audio (Chant: Nathalie, guitare : Alexandre)
- le cœur à imprimer et à compléter par un message personnel
Si des citoyens musiciens veulent nous accompagner, ils sont les bienvenus.
Mon hôpital je l'aime!
Paroles PCF Grand Chalon sur l'air de la chanson "Je l'aime à mourir" de Francis Cabrel
Tout allait si bien
Et voilà qu’aujourd’hui
Je vois le médecin
De l’hôpital d'ici,
C'est pas par plaisir .
La ministre a beau dire
Que ça lui coûte un bras
De soigner dignement
Le citoyen d'en bas
Nous on veut lui dire
Que l'on veut guérir
Et qu'on va agir..
Ils ont baissé les chiffres
Des budgets de la santé
Ils ont fait de la vie
Un coût à diminuer
Des lits à réduire
Ils nous prennent pour des cons
Citoyens bien dociles
A l’hosto de chalon
C'est bien trop difficile
On s'bat pour l'angio
Et pour la coro
On aime notre hosto
Macron dépense, des sous pour la guerre,
Quand à l’hosto, y a pénurie
Macron décide, de faire la guerre
A la vie, à l’amour aussi
Elle fait de son mieux
L’infirmière héroïne
Elle court au milieu
Des malades ,elle turbine
Elle veut les guérir
Elle soigne nos vieux parents
Nos enfants adorés
Elle répète souvent
Qu 'elle va pas y arriver
Qu'ça peut plus durer
Que c’est d'pire en pire
Qu'elle va pas tenir
Planquée au ministère
Buzin fait sa loi,
Envoie des circulaires
En langue de bois
Elle veut tout détruire
On doit juste écouter
On doit tout encaisser
On n’doit pas protester
On doit tout avaler
Jusqu’à en vomir
Buzin tu délires
On n'veut plus subir
Et le privé, qui fait ses affaires
Pour être plus fort aujourd’hui
Et le privé, qui fait ses affaires
Sur la vie, la santé aussi
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien,
D'mon hôpital ce samedi
J' protége son avenir
Nous n' laisserons pas détruire
Notre vie et nos droits
Nous décidons d' ouvrir
L’espace de nos bras
Pour vous l'interdire
On peut vous garantir
Qu' on va réussir