Éco & Social

Cette rubrique traite des sujets concernant l'économie et le social (mouvements sociaux, manifestations, grèves...)

Agenda grèves et manifestations syndicales

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femmes

La crise sanitaire assortie d'un second confinement sont tout aussi risqués que le premier pour les femmes et les enfants dans les foyers où la violence règne. Cela est bien connu, les violences à l’âge adulte prospèrent sur le terreau de celles connues dans l’enfance, du côté des victimes comme des agresseurs d’ailleurs. Pour briser ce cycle infernal, il est fondamental de détecter, écouter, prendre en charge et réparer dès les premières violences.

Nous sommes dans un contexte à la fois enthousiasmant et difficile :

- Enthousiasmant du fait de la nouvelle vague féministe, aux ramifications multiples, qui déferle depuis octobre 2017, depuis l’émergence de #Metoo. Abaissement du niveau de tolérance aux violences, prise de parole, prise de conscience du caractère massif des violences faites aux femmes et aux enfants : une fenêtre mondiale s’est ouverte pour des conquêtes majeures.

AF

Les hommages à André Faivre n’ont pas manqué de rappeler ses engagements de communiste au niveau départemental et au niveau national. Mais c’est dans le Bassin Minier qu'il a pu développer toutes ses qualités de militant proche des gens et d’élu à l’écoute attentive de ses concitoyens.

En 1973, il fut élu Conseiller Général, dans le nouveau canton de Montceau-Sud ( partie de Montceau et toute la ville de Saint-Vallier), siège qu’il conservera sans interruption jusqu’en 2001 grâce à une présence régulière dans tous les quartiers de Saint Vallier.

jeunes

CONQUÉRIR DE NOUVEAUX DROITS AU TRAVAIL !

Avec un âge moyen de 29 ans pour un premier CDI, chiffre qui n’a de cesse de reculer, la jeunesse se retrouve dans une situation de précarité importante sur le marché du travail.

Sous le prétexte du manque d’expérience, les postes proposés aux jeunes sont souvent très peu payés et instables, à travers des dispositifs spéciaux réservés à la jeunesse. De fait, les jeunes servent de variable d’ajustement sur le marché du travail capitaliste lorsqu’ils sont en situation d’emploi. En prétendant répondre aux aspirations des jeunes à la mobilité et à la liberté dans son emploi, le capitalisme offre à la jeunesse des conditions de travail indignes. 

Un élu, un militant exemplaire s'en est allé,

André FAIVRE, son action dans le bassin minier et à Saint-Vallier

L'annonce du décès d'André FAIVRE, militant et élu communiste a beaucoup attristé les communistes, mais au-delà toutes celles et tous ceux qui ont pu travailler avec lui. Il était apprécié, respecté y compris par ceux dont il combattait les idées, parce que André était un homme de dialogue, travailleur, qui connaissait les dossiers qu'il défendait,

Avec « Une vie au XX e siècle. Des combats, Continuons » le titre de l’ouvrage écrit par André Faivre, est un témoignage par un de ses acteurs, de la vie politique en Saône-et-Loire. Dans cet ouvrage, il retrace les épisodes qui ont jalonné sa vie, son enfance, sa jeunesse, l’histoire du parti.

violences

Quatre agents ont été suspendus, jeudi, et plusieurs enquêtes ouvertes après la révélation par le site Loopsider du « tabassage » en règle de Michel, un producteur de musique, samedi, à Paris.

«Les violences policières, c’est un mensonge, ça n’existe pas »

Nuit des tentes

La nuit des tentes : le pire s’est produit. L’horreur et l’indigne,la statue de la République était pétrifiée

Le pire n’est pas les images, c’est la nuit qui a de nouveau avalé les exilés dehors Le pire est que les 400 exilé.e.s présents, à 19h, place de la République, dormiront de nouveau dehors cette nuit, loin à Clichy, loin à Saint-Denis, cachés sous les ponts des canaux ou ailleurs, invisibles. Le pire est que de nouveau, nous ne les verrons pas s'endormir blessés dans le froid.

Non, l'épouvantable n'est pas arrivé lorsque la police a sorti les exilés, à 20h, des tentes que l'association Utopia avait dressé sur la place de la République (20000 euros de budget selon l’association) . Les forces de l'ordre ont commencé à jeter plusieurs centaines de tentes achetées ce week-end pour les mettre à l'abri. Les corps délaissés des exilés, sortis de force, les tissus légers volant entre les airs de mains en mains policières, les toiles bientôt déchirées, les visages de toutes et tous fatigués... Nous n'étions là qu'au début.